
Szayel aporo Grantz est un personnage intriguant à tous les points de vue. Pour commencer, il avoue lui-même être un combattant aux aptitudes limitées ce qui est plutôt rare chez l'élite des Arrancars. Son caractère est aussi très inhabituel. Son calme apparent cache une excentricité et un sadisme étonnant dont Renji et Ishida feront les frais. Il se rapproche de Mayuri autant au niveau de sa méthode de travail que sur sa personnalité. A l’instar de Mayuri qui se sert de sa fille comme d’un vulgaire cobaye, Szayel se sert de son grand frère Il forte Grantz pour se procurer des informations sur le Bankai d’Abarai Renji et il ira même jusqu’à manger ses propres serviteurs pour se régénérer totalement ou partiellement selon la gravité de ses blessures.
Il analyse tout ce qui l'intrigue plus ou moins et ne se lancera pas dans un combat sans connaître toutes les capacités de ses opposants. De plus, il possède un quartier à Las Noches qui a la capacité d’être modulé selon ses souhaits. Ainsi il peut le truffer de pièges, en modifier les couloirs afin de ramener des visiteurs importuns jusqu’à lui, ou même faire en sorte de limiter la puissance de ses adversaires de part la nature de la pièce elle-même.
Sa grande confiance en lui l'handicape comme ses congénères car il ne peut pas s'imaginer qu'une personne autre qu'un Espada mieux classé que lui puisse le surpasser. Ainsi il a tendance à sous-estimer ses adversaires.
L'Octavo Espada voit les combats comme des pièces de théâtre dont il en serait le metteur en scène. Grâce au système multiple de ses salles à Las Noches ainsi qu'à la capacité de son Zanpakutô il assume ce rôle avec brio.
Résurrection: « susure, fornicarus » Aspire, Reine de la débauche
La personnalité particulière de Szayel Aporro se reflète dans sa méthode de libération de son Zanpakutô: il avale son sabre, ou plus précisément le plante dans son oesophage, ce qui a pour effet de le faire gonfler puis exploser. Sa vraie forme apparaît alors, débarrassée de son enveloppe comme un papillon sortit de son cocon.
Grantz prends la forme d'une espèce de pieuvre avec des ailes et des marques apparaissent autour de ses yeux.
Sa libération correspond pour lui au "dernier acte" de sa "pièce de théâtre", et pour faire intervenir les "acteurs", il projette un liquide noir tout autour de lui. Quiconque sera touché par ce liquide verra créé une copie de lui-même, distinguée de l'original par les mêmes marques sur les yeux que son créateur, ainsi que par l'absence d'iris dans ses yeux.
Ces copies ont à priori les mêmes capacités que leurs modèles, et ainsi l'Octavo Espada force ses adversaires à s'affronter eux-mêmes jusqu'à ce que mort s’ensuive.